Il n’est de richesse que d’hommes ? Déclarations et représentation

Travail invisible
L’ambivalence du discours sur l’importance du facteur humain est grande, argumente Pierre-Yves Gomez dans cette chronique. La maxime de Bodin : « Il n’est de richesse que d’hommes » est devenue une banalité tant elle est entendue dans la rhétorique managériale. Car le travail humain est source de création de valeur et de compétitivité. La tâche du conseil d’administration étant de penser le long terme, on penserait que les spécialistes des ressources humaines y gagnent une place d’office. En réalité, c’est rarement le cas. Explications : Télécharger l’article

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