Pierre-Yves Gomez s’exprime sur France Inter à propos du scandale des logiciels truqués de Volkswagen.
L’entreprise représentait un exemple classique de la bonne gouvernance : séparation stricte des pouvoirs, parité de la représentation entre capital et travail au conseil, contrôle du pouvoir public qui détient 20 % du capital… En réalité, la triche prendrait sa source dans la soif de pouvoir, devenir No1 mondial à tout prix, quitte à considérer la qualité ou l’éthique comme secondaires.