Ambivalence et explications sur ce que reflète l’utilisation généralisée de cette maxime.

Le rapport décrit les entreprises ayant adopté le code MiddleNext et leurs systèmes de gouvernance. Le nombre d’entreprises se référant au code a augmenté, passant de 139 en 2011 à 155 en 2012. Il donne des détails sur la mise en œuvre concrète des recommandations du code MiddleNext. 

Alstom est sur le point de céder de 2/3 de son activité à General Electric. Qui réalise un arbitrage aussi crucial pour 65 000 salariés ? Alors que le conseil d’administration semble être le seul chef à bord, il convient d’examiner sa composition et de soulever l’importance politique des enjeux de gouvernance.

La thèse d’Asma Fattoum porte sur les dilemmes et les pratiques des PDG fondateurs lorsqu’ils introduisent leur entreprise en bourse.

Une enquête sur le rôle de la mémoire des communautés de travail à ENEDIS (ex-ERDF).

Xavier Hollandt et Virgile Chassagnon publient un article dans la revue Journal of Institutional Economics.

La cour d’appel de Paris a condamné en décembre 2013 les pratiques de montages juridico-financiers en cascade qui permettent aux entreprises – à Wendel dans ce cas – de fuir leurs responsabilités.

Pierre-Yves Gomez revient dans sa chronique sur la perte d’influence de la famille Peugeot sur le célèbre groupe automobile qui porte son nom.

« Depuis une vingtaine d’années, les mots « travail » et « travailleur » ont quasiment disparu dcs discours
manageriaux ». Pierre-Yves Gomez revient dans une tribune dans L’Expansion sur la thèse de son livre Le Travail Invisible.

Strong managers, strong owners : Corporate Governance and strategy. Le dernier livre de Pierre-Yves Gomez et Harry Korine sur les liens entre gouvernance et stratégie.

46% des français travaillent pour une multinationale. Quelles sont les nouvelles questions économiques, politiques et sociales qui se posent ? Pierre-Yves Gomez livre ses réfexions sur les ambiguités actuelles de l’identité nationale dans sa chronique in Le Monde Eco et Entreprise.

Alternatives Economiques donne la parole à Pierre-Yves Gomez à propos de la présence d’administrateurs salariés dans les conseils d’administration français. La loi de juin 2013 oblige les entreprises de plus de 5000 employés à avoir au moins un administrateur salarié au sein de leur conseil mais nous restons en France très loin du modèle allemand de parité en place depuis 1976. Une mise en perspective sur le décallage entre les intentions et les timides actions du législateur.

Nicolas Aubert publie un article dans la revue Économie et Sociétés sur la complémentarité des deux formes de participation des salariés – à la gestion et au capital – à l’entreprise en les articulant grâce au don.

Lors d’une longue interview dans le Figaro, Pierre-Yves Gomez répond aux questions de Astrid de Larminat sur les grands défis économiques et sociétaux contemporains. Seule la lucidité face aux solutions possibles, qui ne peuvent être que locales et personnelles, peut permettre de les relever et d’affirmer un espoir réaliste.

Le modèle de gouvernance familial n’est pas un modèle de solidité, loin de là. Ses forces sont aussi ses faiblesses. Pouvoir centralisé, effet de seuil, isolement du dirigeant… Retour sur des problèmes chroniques dans un long article sur le capitalisme familial à la française.

La Tribune revient dans cet article sur le référentiel rédigé par le professeur Pierre-Yves Gomez en partenariat avec Middlenext.

Pierre-Yves Gomez contraste l’avancée rapide de l’application de la loi Coppé-Zimmerman sur la parité dans les conseils d’administration des sociétés cotées avec la prudence législative concernant la représentation des salariés. Pourquoi ? La première contrairement à la seconde poursuit ou accentue la reproduction sociale au sein des institutions de gouvernance.

Pierre-Yves Gomez soulève la question de la justification de la rémunération des dirigeants des entreprises du CAC 40 qui se sont envolés malgré l’obligation depuis 2001 de les publier. Ce n’est donc pas le marché des dirigeants qui manque de transparence. C’est la hiérachie, d’où ils justifient leurs rétributions.

Plus de 550 milliards de dividendes ont été distribués depuis 20 ans par environ 400 entreprises cotées. Il est important de savoir quelle est l’origine de ce flux de financement de l’économie. Toutes les entreprises ont-elles contribué de la même façon ? Existe-t-il des différences selon l’actionnariat ou le secteur économique ? En utilisant la base GEF/IFGE, cette étude met en lumière comment, entre 1992 et 2011, les entreprises ont produit et distribué une part de leurs revenus à leurs actionnaires.

L’Association pour le Progrès du Management (APM) et l’Institut Français de Gouvernement des Entreprises (IFGE) se sont associés pour réaliser un état des lieux du gouvernement des PME et PMI françaises non cotées. La présente étude a été menée au cours de l’année 2012 et, après celle de 2007, permet de dresser une nouvelle cartographie de la gouvernance des entreprises qui échappe au prisme des très grandes sociétés cotées.

Le rapport décrit les entreprises ayant adopté le code MiddleNext et leurs systèmes de gouvernance. Il donne des détails sur la mise en œuvre concrète des recommandations du code MiddleNext. On observe en particulier une progression du nombre d’entreprises ayant mis en place un règlement intérieur pour leur conseil (85% en 2011 vs 48% en 2009) ainsi qu’une très nette augmentation du nombre de sociétés ayant mis en place une évaluation des travaux du conseil (62% en 2011 vs 31% en 2010).

Xavier Hollandts, Angela Sutan et Bertrand Valiorgue détaillent dans un article du Huffington Post les dérives de Spanghero, entreprise détenue par un groupe coopératif agricole et dont la gouvernance s’est éloignée des valeurs coopératives. En vendant de la viande de cheval achetée à l’étranger pour la revendre comme viande de bœuf, Spanghero a créé une vive polémique sur l’agroalimentaire et les tromperies commerciales.

Quels sont les sources de la solidité institutionnelle de l’Eglise catholique, la plus vieille organisation du monde ? Pierre-Yves Gomez analyse son mode de gouvernance et ses défis futurs.

LE TRAVAIL INVISIBLE. Enquête sur une disparition. F. Bourin éditeur, 2013.

Ceux qui dirigent l’économie ne voient plus la réalité du travail. Ils utilisent des instruments de gestion si abstraits qu’ils rendent invisibles les personnes qui créent la valeur économique. Cet essai déroule la logique fascinante qui nous a conduits à accepter une situation absurde et épuisante. Jusqu’à la crise. Il montre que la reconnaissance du travail vivant est le seul vrai projet politique qui renouvellera notre économie mais aussi notre société.

Pierre-Yves Gomez revient sur le comportement inattendu de l’entreprise Dell qui vient de décider de sortir de la bourse afin de gagner en liberté et faire évoluer le projet industriel de l’entreprise.

Le journal le Progrès revient sur la sortie du nouvel ouvrage de Pierre-Yves Gomez sur le travail invisible.

Retrouvez la première tribune de Pierre-Yves Gomez pour l’année 2013 dans le journal Le Monde. Il revient sur ‘l’option nationalisation’ lorsque une entreprise traverse des difficultés.

Pierre-Yves Gomez revient dans sa chronique dans le journal Le Monde sur une des propositions inaperçues du rapport Gallois en matière de gouvernance des entreprises.

Retrouvez la chronique de Pierre-Yves Gomez publiée dans le Monde qui traite des enjeux politiques de la gouvernance des entreprises.

Retrouvez la dernière tribune de Pierre-Yves Gomez sur la multiplication des interventions au plus haut niveau de l’entreprise pour définir sa stratégie.

Pierre-Yves Gomez revient dans sa tribune dans le journal le Monde sur la stratégie mise en oeuvre par le groupe Vivendi.

Deuxième numéro de la nouvelle série des cahiers « Preuves à l’Appui » sur les entreprises qui décident de sortir de la bourse. Ce nouveau cahier montre, chiffres à l’appui, les raisons qui poussent une entreprise à se retirer des marchés financiers.

Pierre-Yves Gomez revient sur le développement sans précédent des grandes entreprises qui concentrent une part croissante des capitaux. Pierre-Yves Gomez montre que contrairement a une idée reçue, ce n’est pas la main invisible des marchés qui gouverne ces entreprises, mais bien celle de leurs propriétaires et de leurs managers.

Dans cette chronique le professeur Pierre-Yves Gomez revient sur les conséquences des stratégies de recentrage sur les salariés.

L’IFGE publie une nouvelle étude sur les entreprises et la bourse. Cette étude, première en France, montre que la bourse a essentiellement profité à une soixantaine d’entreprises qui, en absorbant le capital, sont devenues des sociétés géantes.

Pierre-Yves Gomez s’interroge dans sa chronique sur la source de la contre-productivité et montre que le modèle actionnarial de gouvernance des entreprises s’avère dans certaines circonstances destructeur de valeur.

Pierre-Yves Gomez revient sur les difficultés des marchés financiers a évaluer la valeur réelle du travail et propose de financiariser la gouvernance des entreprises.

Pierre-Yves Gomez revient sur l’augmentation du salaire des dirigeants des grandes entreprises et le lien entre leurs compétences.

Pierre-Yves Gomez revient dans un article dans le journal le Monde sur le départ de Steve Jobs de la direction générale d’Apple.

Pierre-Yves Gomez revient dans cet article publié dans la tribune sur la question de la parité et de la représentation des salariés dans les conseils d’administration.

Pierre-Yves Gomez publie une tribune dans le numéro 40 de la revue Analyse Financière, il s’interroge sur les acteurs qui ont bénéficié de la financiarisation. Retrouvez également le point de vue de Caroline Weber.

Le professeur Pierre-Yves Gomez revient dans sa tribune dans le journal le Monde sur un principe simple et souvent oublié de gouvernance : la subsidiarité.

Pierre-Yves Gomez présente dans cette tribune une conception résolument politique du conseil d’administration en tant que garant des principes de justice organisationnelle.

Pierre-Yves Gomez revient dans sa chronique mensuelle sur la nouvelle mode en matière de gouvernance des entreprises : les conflits d’intérêts. Il montre que loin de chercher l’absence de conflits d’intérêt, la gouvernance constitue précisément à trouver des solutions pour les résoudre.

Nicolas Aubert, chercheur associé IFGE publie avec Thomas Rapp un article sur les incitations des salariés à investir une partie de leurs capitaux dans les plans de participation. L’article est publié dans le Journal of Financial Service Research. 

Pierre-Yves Gomez revient dans sa tribune mensuelle dans le journal le Monde sur les origines financières des multinationales.

Ce Cahier pour la Réforme est un outil de synthèse sur le rôle que peut jouer le contrôle interne dans la gouvernance des entreprises. Son objectif est de présenter les débats sur la relation entre la logique de contrôle des activités de l’entreprise et l’exercice de la gouvernance au sens large du terme.

Pierre-Yves Gomez publie un chapitre dans l’ouvrage La gouvernance des sociétés cotées face à la crise – pour une meilleure protection de l’intérêt social. Le chapitre porte plus précisément sur les leçons que l’on peut tirer de la crise actuelle et des enseignements que l’on peut tirer de cette situation pour renouveler la gouvernance des entreprises.