Il serait heureux que le toilettage de la loi Pacte qui s’annonce permette de redéfinir la place du « comité de mission »
Dans la réalité, la RSE est assumée par des collaborateurs (et, parfois, des dirigeants) engagés, voire militants.
Article académique
Les leaders ont-ils le droit de montrer leur vulnérabilité ?
La Covid-19 révèle la religiosité spécifique de notre société occidentale qui repose sur la croyance en la toute-puissance d’une technostructure de gestion capable de contrôler les maladies qui nous menacent.
Gouvernance et financement des firmes entrepreneuriales: Nouvelles perspectives.
Comment la parité dans les directions d’entreprise peut chambouler la société
un chapitre d’ouvrage de Charles REVUE pour les Editions du Bien Commun
Le statut de « société à mission » est plus qu’un coup de communication : il doit permettre aux dirigeants de remettre du sens dans leurs organisations
Pierre-Yves Gomez rappelle, à travers le cas du groupe Danone, les limites de la « démocratie actionnariale »
L’affaire GameStop : et après ?
Article Claire Ciampi
Image flamboyante de soi, consécration par la richesse personnelle même démesurée et esprit de subversion assumé – à condition qu’il ne menace ni le régime, ni l’ordre financier.
L’actionnariat familial pourrait apporter aux parties-prenantes une caution bienvenue de continuité de l’entreprise.
Comprendre la subordination économique des entreprises donne plus de consistance à l’émotion suscitée, lors de la crise sanitaire, par la mise en visibilité des travailleurs de proximité
Pierre-Yves Gomez décrit la lente émergence de la notion de « responsabilité sociale de l’entreprise », après plusieurs décennies de domination des conseils d’administration par les objectifs des financiers
Changing Corporate Governance in France in the Late Twentieth Century
La gouvernance de 193 entreprises est analysées en détail ce qui en donne une image fidèle particulièrement utile en ces temps de récession économique.
Les Français commencent tout mais n’achèvent rien
Chronique de Pierre-Yves Gomez dans Le Monde
La responsabilité des entreprises est difficile à contrôler
Parution du nouvel ouvrage de Pierre-Yves Gomez
Penser le travail comme soin, n’est-ce pas aller à contre-courant de ce que l’on observe aujourd’hui ?
Dépasser l’alternative entre hétéronomie et autonomie
Les meilleures pratiques de gouvernance d’entreprise
Analyse du capitalisme spéculatif
Rapport 2019 sur les entreprises faisant référence au code de gouvernance Middlenext
Tribune de Pierre-Yves Gomez dans Le Monde
On avait cru que la mondialisation de l’économie effacerait les pouvoirs des nations. Non seulement il n’en est rien, mais ces pouvoirs semblent être des armes efficaces dans la guerre que se livrent les entreprises géantes.
L’effervescence numérique trouble les gouvernés qui réclament des décisions claires.
De solides contre-pouvoirs sont un rempart contre les dysfonctionnements de gouvernance
Parution du neuvième rapport sur les entreprises faisant référence au code de gouvernance MIDDLENEXT : rapport 2018 sur les entreprises faisant référence au code de gouvernance Middlenext en 2017
Derrière l’actionnariat des très grandes entreprises, c’est la masse de ménages détenteurs de titres qui est concernée.
Can founder-CEOs overcome the rich versus king dilemma after IPO?
La globalisation n’a pas fait disparaître les ancrages culturels nationaux, même aux niveaux de pouvoir les plus élevés, explique Pierre-Yves Gomez.
Le monde de l’entreprise est-il condamné à donner tout pouvoir aux détenteurs du capital ? Faux et contre-productif, affirme le philosophe et économiste Pierre-Yves Gomez, pour qui il est urgent de revaloriser le travail.
Pierre-Yves Gomez commente les développements récents du projet de loi PACTE.
Dans cette chronique, Pierre-Yves Gomez pointe le faible écart entre les capitalisations boursières du groupe Renault-Nissan et Tesla et s’interroge sur la rationalité des marchés.
Deux stratégies géopolitiques s’affrontent dans la guerre commerciale pour la défense des entreprises.
Du fait de leur taille, celles-ci peuvent échapper aux règles des Etats, leur puissance permet d’influencer les peuples et même d’agir sur les régulations publiques. Leur gouvernance importe donc : qui a le droit légitime d’exercer en leur nom le pouvoir souverain ?
Pierre-Yves Gomez explique que les stupidités, les escroqueries ou les erreurs stratégiques sont les contreparties du manque de discernement de dirigeants-fondateurs cumulant les fonctions de président et de directeur général et donc les pouvoirs de direction et de contrôle.
Pierre-Yves Gomez analyse les ressorts historiques de la répartition des bénéfices des entreprises entre actionnaires, dirigeants et salariés.
La riche histoire des Caisses d’épargne éclaire sur deux points la question de l’entreprise à mission.
Lyon, 26 mars 2018 – L’Institut Français de Gouvernement des Entreprises (IFGE) publie le 6ème cahier de recherche Preuves à l’appui avec pour thème conducteur : les grandes entreprises sont-elles encore françaises ? Cette analyse se fonde sur les données de 99 entreprises du SBF 120.
En perspective du prochain « plan d’action pour la croissance et la transformation des entreprises » (Pacte), dont le projet de loi devrait être discuté au Parlement au printemps, on s’agite beaucoup pour redéfinir la responsabilité des entreprises, notamment à l’égard de ses parties prenantes et de la société tout entière. Mais que dira-t-on de la responsabilité des actionnaires à l’égard de l’entreprise ?
Cette étude examine la façon dont les multiples structures du capital affectent la performance des firmes familiales.
Article de blog
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/idees/article/2018/02/08/a-versailles-l-hommage-aux-seigneurs-de-l-economie-mondiale_5253825_3232.html#fk0VaLbTBk6Gfr17.99
Article de presse
Le One Planet Summit, organisé par la France, le 12 décembre 2017, a voulu clore l’année sur une note optimiste. Deux ans après la COP21, qui avait réuni 196 Etats à Paris pour tenter de définir une politique de lutte commune contre le réchauffement climatique, le président Macron a invité cette fois des entreprises, des financiers et de riches philanthropes à s’engager sur l’avenir de la planète.