La cour d’appel de Paris a arbitré un contentieux entre la société Wendel et un petit actionnaire qui se sentait lésé après que les dirigeants aient refusé de répondre à sa question écrite lors de l’assemblée générale. La cour a soutenu que le président du conseil d’administration n’était pas obligé de répondre à toutes les demandes. Mais elle a pris l’initiative de dénoncer le dégagement en touche de la part de Wendel permis par leurs montages juridico-financiers en cascade. Une pratique courante qui permet aux entreprises de fuir leurs responsabilités.
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