Pierre-Yves Gomez met en garde contre certains principes réducteurs et dépassés sur la gouvernance des entreprises. II estime simpliste de vouloir imposer les modes de fonctionnement des grandes entreprises cotées à toutes les societés alors qu’elles ne représentent qu’une minorité. II montre également qu’il faut éviter de tomber dans la suspicion et la multiplication des contrôles pour éviter « une fuite en avant dans le formalisme ».
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